La mort d'une fille dorée très aimée, d'anciens coureurs et d'autres choses dont le monde du cheval parle

La mort d’une fille dorée très aimée, d’anciens coureurs et d’autres choses dont le monde du cheval parle

  • 1. Triste décès d’une star du spectacle

    Kay Sinclair-James, propriétaire du show cob à succès Cappuccino, a rendu hommage au « cheval le plus gentil à regarder à travers une bride ». La jument de 25 ans, achetée en Irlande dans sa jeunesse, reste dans le souvenir de ceux qui l’aimaient comme d’une jument qui mettait volontiers ses talents au service de tout ce qu’on lui demandait, « avec le sourire aux lèvres ». Cappuccino est décédé le lendemain de Noël des suites de coliques. « En 21 ans, je ne suis jamais tombé d’elle », a déclaré Kay à H&H, ajoutant que la joie et le plaisir que « Cappu » apportait au fil des ans étaient « incommensurables ». « Elle était juste incroyable. Nous l’appelions « la fille en or ».

    Hommage à Capuccino

    2. Le débat sur l’engagement d’un ancien cheval de course

    Louise Robson se spécialise dans le recyclage des anciens chevaux de course pour le dressage, et elle dit que les cavaliers ne devraient pas avoir peur de les exclure. Elle appelle les fortes réactions qui peuvent être générées lorsque les chasseurs de chevaux stipulent « Pas de pur-sang » dans les annonces de recherche, qui impliquent souvent des défenseurs d’anciens chevaux de course chantant leurs louanges et encourageant les autres à leur donner une chance. Louise remercie ceux qui excluent les pur-sang hors-piste de leur recherche en précisant que « s’attaquer à un ex-cheval de course n’est pas pour les timides ». Elle veut sensibiliser davantage à ce qu’implique l’engagement d’un ancien cheval de course, rappelant aux cavaliers « l’engagement, le travail acharné, les maux de tête et la patience dont ils ont besoin ».

    Lire la suite de Louise

    Louise Robson et Quadrille, le deuxième cheval de course que Louise a recyclé pour The Queen

    3. Pourquoi les rosettes sont si importantes pour certains

    Pour beaucoup de coureurs de haut niveau, une autre rosette lors d’un spectacle d’entraînement est autre chose à trouver dans un tiroir – jusqu’à ce qu’il soit dégagé. Pour d’autres, vivre la vie qu’ils ont toujours voulue ou revivre une enfance qui n’a pas été aussi réussie qu’ils l’auraient souhaité, une rosette pour la cinquième place à un événement de dressage non affilié signifie le monde. Les centres d’exposition devraient-ils donc distribuer plus de rosettes plutôt que moins, ou les coûts l’interdisent-ils ? Où vous situez-vous dans le débat sur la rosette ?

    Plaidoyer d’un cavalier sur les rosettes

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